C'est 2012 ! Bonne année ! Qui saura dire que l'indifférence , l'injustice et l'ignorance ont reparachuté l'homme au moyen-âge social et politique ? et qui saura avouer que l'épisode va être rediffusé si on comprends pas que ce sont les victimes et oubliés ( c-à-d les citoyens ! ) qui doivent être l'objectif et le sujet de leur émancipation ?
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Questions locales et mondiales générales :
Dans quelle mesure est si aiguë la nécessité de discuter et d'informer à leur sujet?
12/01/2012
J'écris cet article pour souligner les préoccupations généralement pas prises en considération (ou peut-être sont déformés de nos jours). Ces préoccupations peuvent être une sorte de point de départ pour les discussions et les activités, même sur d'autres sujets. Bien sûr, une telle discussion viendra à travers la vie quotidienne où nous aurons à traiter de ces poblèmes, y faire face, ou à y aider ou exprimer des idées sur la façon de résoudre ces problèmes.
La question la plus importante dans notre monde qui est aussi un constituant majeur de notre modernité, est les droits humains essentiels ou: le respect de la personne humaine.
Mais nous ne devrions pas être en erreur: en dehors de ce qui est généralement connu, comme les violations et les oppressions, il peut y avoir d'une part les négligences et fautes (négligence criminelle).
D'autre part, il peut y avoir l'inaccés aux droits fondamentaux en raison de l'indigence (santé, logement ...) ou de l'analphabétisme (emploi, vote ...).
Par ailleurs, l'accent n'est pas mis de même pour les droits personnels et culturels que pour les droits politiques (même ceux-ci parfois considérés dans un point de vue étroit).
En ce qui concerne les pays et notre planète toute entière, une grande préoccupation est la gestion des richesses: ne doit-on pas considérer comme un droit humain fondamental la nécessité d'un environnement sain, je veux dire: la propreté de la nature, la conservation de l'équilibre des écosystèmes, la protection des ressources renouvelables et non renouvelables?
Une autre préoccupation qui est surtout un constat: il ya une grande différence entre parler des problèmes et faire de son mieux pour aider à les résoudre. C'estl'engagement sur le terrain, si possible, qui montre vraiment qui est amoureux de notre planète.
Et la dernière question est de savoir si les pouvoirs les plus puissants de nos sociétés, c'est-à-dire le gouvernement et les médias, ont connaissance de ces préoccupations et enjeux?
:-)