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Recit agression et sequestration ( demande d'aide )

                                           

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30/01/2012
Recit agression et sequestration
( Péripéties, réactions, objectifs essentiels, enquête....)

 Contact via l'adresse email
Sami.abid27@gmail.com

 Résumé:

Ce récit est très long car il détaille, le plus possible pour le public , les faits , qui m’a séquestré, les buts, les réactions, une liste d’activistes qui m’ont vu pendant la torture, et comment on peut enquêter ! Etc.

 Le 2 mars 2011 je suis enlevé en pleine rue, torturé pendant toute la nuit, séquestré par  50 personnes âgées entre 15 et 45 ans , torturé et interrogé sous une tente prés du sitting de sfax. Ils disaient aux activistes que je suis policier politique ! 

Ils ne m'ont laissé que quand je leur ai fait croire j'était moribond‏ ‏ et essayé de leur suggérer que je peux coopérer.(j'avais commencé à cracher du sang de mes poumons et uriner du sang. Je ne sais pas lequel de ces raisons, en plus d'un appel téléphonique venu peu après ).

 Les médias et les avocats qui d'habitude se jettent sur les infos du genre sont indifférents; à la fois envers cette affaire et des cas précédents. 

 La police n'a pas mis dans le procès toutes les infos que j'ai donné ( déjà l'enquête n'a commencé qu'après un mois!)

 L'enjeu (en plus de l'interrogatoire non classique et la tentative d'homicide) est clair: voler mon portable qui contient des fichiers criminels envoyés par des éléments bi-affiliés au temps du déchu! A la famille , on a suggéré que c'était pour vérifier mon identité car ces gens craignaient que je soit un indicateur ! Mais je suis connu et cela n'explique pas pourquoi ils n'ont interrogé personne des milliers de gens qui passaient et pourquoi ils ont gardé l'argent , les portables , les papiers et les vêtements !

 Les criminels circulent dans la rue et sur internet, avec des vidéos et tout! L’opposition s’en fout !

Il y a des gens qui veulent régner par la peur! en laissant leur victime parler de son calvaire!

================

 

Récit des faits
Nb

Voir certificat et un exemple de réaction dans les photos accompagnant cet article

 1/ Avant
 :  
fin février: un ancien collègue qui fait office de gardien de motos devant l'ugtt  (etc) surnommé Mouldi ( Mansour Amri, société Matex ) me suggère d'aller " participer et exprimer mon opinion dans le sitting.

 2/ Les avocats de l'association des avocats qui y participent expriment leur engagement pour défendre les droits de l'homme mais refusent mon dossier après y avoir lu mon identité.

 3/ Le 2 mars à 17h: je rencontre dans la rue une personne que j'ai vu au sitting ( Hichem apparemment connu par Mrabet , concierge à l'ugtt) . Je lui parle de violations des droits de l'homme subies dans le passé. Il ne dit rien et me quitte.

 4/ Je parviens au niveau des taxis stationnés près de la porte de la Kasba de la médina. Un taxiste me parle. Soudain deux mains m'accrochent par le bas du blouson.

 5/ D'autres mains me saisissent par les bras et la ceinture du pantalon. Une voix crie: "voilà le policier qui nous a fui l'autre fois". Je me trouve encadré par 5 jeunes entre 15 et 18 ans. Ils m'entraînent vers le jardin public ou se tient le sitting, alors j'essaye de me jeter dans une baraque de journaux proche. Elle ferme. Et je vais passer 16 h séquestre et torturé sans que le taxiste ou le vendeur de journaux, ni la radio venue couvrir le sitting (autour de 18 h) n'ont essayé d'informer les autorités.

 6/ 20 jeunes se rassemblent et je suis mis dans une tente verte qui servait auparavant à " l'animation culturelle du sitting"

 7/ Je ne sortirais qu'après 16 h avec multiples blessures et sans mes portable et papiers ( brouillons d'articles etc) 

Je ne sais exactement pourquoi ils ont arrêté la torture; j'avais fait croire que j'étais moribond, et essayé de leur suggérer que je peux coopérer.(j'avais commencé à cracher du sang de mes poumons et uriner du sang. Je ne sais pas lequel de ces raisons, en plus d'un appel téléphonique venu peu après ).

À part les environ 10 bosses au crâne et aux mâchoires faites par des gourdins et non vues par le médecin, celui-ci a diagnostiqué une plaie profonde  au niveau de l'’arcade supérieur de l'oeil gauche, une plaie profonde au niveau de la lèvre inférieure, tuméfaction ecchymotique péri-orbitaire droite, multiples écorchures et lésion ecchymotique au niveau du thorax et du dos, tuméfaction au niveau de l'’articulation gauche supérieure de la mâchoire, tuméfaction ecchymotique au niveau de l'’épaule droite, tuméfactions ecchymotiques au niveau des 2 lèvres...

Je n'avais pas montré au médecin le filet de sang qui s'écoulait avec l'urine par pudeur et par des soins problématiques avec mon état général affaibli !

 

8/ Réactions des gens auxquels j'ai demandé de l'aide contre mes ravisseurs:

 

Dès ma 'fuite' de la séquestration, je suis allé prendre ma soeur avec moi et aller ( encore ruisselant de sang) à l'ugtt (union syndicale) et mon but était de lui montrer l'indifférence de ces gens, ce qui va se vérifier:

 * Mouldi, l'ami qui m'avait suggéré d'aller visiter le sitting : il dit que  "les responsables de la sécurité ont douté de toi parce que tu faisais des gestes incompréhensibles et comme ce sont des gens difficiles ils avaient douté...on n'y peut rien il leur fallait vérifier ".

 * Mohamed Àbbes, ex-secrétaire général du secteur du textile et collègue de travail, à présent membre du bureau exécutif de l'union régionale prétend juste devant la famille qu'il va m'introduire

auprès du chef régional Chaabane mais ne le fait pas et me laisse dehors de son bureau. Des collègues de travail passent et regardent en passant leur chemin pour aller dans son bureau. ( Depuis 2007 la pratique de la punition collective par l'embargo m'etait appliquée à pour différentes raisons. Remarquez que 3 de mes collègues sont aux instances dirigeantes de l'union régionale. S'il n'y avait pas ma soeur, j'aurais été jeté dehors.

Nous entrons seuls chez le chef régional (Mohamed Chaabane, en place depuis 34 ans) il dit qu'il ne peut rien faire car je n'ai pas la carte syndicale! Et de toute façon " je ne veux pas de slogans. Tu dois aller à la police si tu veux.

" !...

* Samir Cheffi ( membre du bureau exécutif régional comme mes collègues et porte-parole du sitting , devenu responsable aussi au niveau national dans l’union syndicale générale) s'attarde à venir et dit qu'il a des réunions! Puis il vient à 10 h entouré de gens costumés. Il bredouille confusément puis dit à ma soeur il n'aurait pas dû y aller. Abderrazek Hammami ( président du Parti du travail Patriotique Démocrate et apparemment membre du conseil protection de la révolution ...) s'adresse à Samir dès leur arrivée et qu'ils m'ont vu leur parler: " VOUS PARLEZ ENCORE AVEC CETTE PERSONNE?"

Puis Samir m'évite et emmène ma soeur à côté pour lui dire qu'il va essayer de savoir s'il peut récupérer mes affaires car ces bandes sont trop fortes pour eux ! Mais rien ne sera fait au contraire .

Remarquez qu'à la vue de mon état (suis allé dés ma fuite à l'ugtt) is ont continué normalement à paresser dans leurs bureaux et ce Samir est même allé chercher une urne électorale et s'est mis à la la dépoussiérer , là au milieu du couloir où il m'a reçu!

 Remarque: je ne diffuse pas de secret en disant que depuis les années 90 on nous nourrissait d'éloges selon laquelle c'est cette section régionale de l'ugtt qui est l'honneur du syndicalisme militant et en même temps les ouvriers sombraient dans la saleté et pour taire mes critiques on avait dès ce temps là instauré la pratique des bougres et matrones punitifs dont on nie la responsabilité (que ce soit le régime qui les recrute ou pas, le silence du syndicat est inacceptable, dont certains sont adhérents ).  

 * Un gars ancien boxeur, Ali Mrabet, concierge et qui m'a causé des problèmes auparavant, lui aussi me voit au siège de l'ugtt et répète l'idée de mes comportements douteux. Quand on a décidé de nous en aller, il s'est de nouveau approché moqueur et m'a dit avec un air de jeu de mots commun dans ce milieu félon:" voit si Moncef peut t'aider" ( Moncef cela veut dire homme juste. Et le gars interpellé s'approche et ferme les yeux tristement et théâtralement secoue la tête que non). Et l'autre reprend: "essaye avec Mohsen" (bienfaiteur. Même scène).

Ce même Mrabet je le verrais une quinzaine après, par hasard comme il a l'habitude de faire. Il vient passer tout près de moi à côté du kiosque de journaux et me lance: " tu as injurié l'ugtt" ( la rue est symbole courant dans l'ambiance d'épique phraséologique qui a remplacé l'épique sociale et volontaire).

 * Un autre concierge , colui là très vieux, Tayeb, dit à un gars qui me regarde: "ils l'ont frappé parce que il est du syndicat  cause syndicat." Toujours la manipulation des événements et mentir comme quoi ils me soutenaient.

 * Certains ( dont un syndic voisin ) ont voulu suggérer à la famille que c'était par crainte que je divulgue les secteurs participants au sitting. Mensonge. Les médias et la tv ont couvert le sitting, et ce jour là la radio, pendant ma torture, était bienvenue chez eux. En plus cela est en contradiction avec l'affiche collée (pour se dérober des tâches sociales) selon laquelle des médias occidentaux révèlent l'origine colonialiste de la révolution.  

 * Avant même ma fuite j'ai eu affaire à des médecins. Il y avait des médecins stagiaires dans leur tenue et qui sont venus aussi participer à la torture. Ils me disaient:" avoue qui te donne les informations et avec qui tu travailles et alors on te soigne sinon on t'égorge comme fait Al Qaîda. Ne crois pas que des médecins vont te pardonner". Et il me versaient un liquide jaune antiseptique alcoolique à odeur de javel sur les yeux et la tête puis allument un briquet et me disent: " on va te brûler comme Bouazizi". Je me suis vite rappelé que ces deux médecins sont ceux que j'ai vu en janvier en manifestation devant l'ugtt et auxquels j'avais donné mes coordonnées sur le net. Ils paraissaient critiquer le soutien de l'ugtt à Ben-Ali et je leur avait parlé de la misère des lieux de travail.

Après cette participation à la torture, ils sortent et entrent de nouveaux qui "ont entendu parler de la capture et veulent assouvir leur vengeance". C'est seulement à ce moment que les coups deviennent ciblés et répétés sur les yeux et la bouche de façon à déchiqueter les tissus. On m'amène un gars qui s'appelle Nidhal qui donne des coups de poing qui font couler le sang de mes yeux (cf le Nidhal Ben Àchour qui me contacte après sur internet) . Puis à un moment donné il y a eu un portable qui sonne.( j'avais l'après midi envoyé un fax de détresse à la Maison de l'Avocat car le Corps était injoignable ). Alors un gars de la discussion du matin entre et crie:" mais qu'est ce que ce chaos! Tous sortent et ne reste que les responsables de la sécurité. On me frappe encore un peu. Puis un nouveau entre et leur dit après des téléphones passés à ma maison : "il y a eu une erreur, etc . Sortez tous. Personne ne te frappera plus. Mais pour les portables, malheureusement ces gars sont des banlieues. Ils les auront déjà vendus. Les médecins vont te soigner."

Et effectivement, les stagiaires reviennent, me cousent le sourcil gauche (2 points de suture) mais pour la lèvre ils amènent un autre médecin à la barbe courte noire et blanche dont les mains sentent le poisson. Il me fait deux points de suture aussi.

 * Mon dernier technicien de portable, un barbu bizarre, l'ayant salué en passant devant sa boutique presque un mois après l'agression, me dit: " c'est toi le policier du parti déchu qu'on a attrapé? C'est pas bien de travailler avec la police". Il n'a pas voulu croire mon innocence ni dire sa source.

Remarque: plusieurs fois il avait réparé mon téléphone contenant mes articles non publiés encore sur internet.

 * L'association régionale des avocats auxquels on impute un fort militantisme pour combattre la corruption et les violations, je ne réussis pas à la contacter. Ils sont tous absents où refusent dans la rue de me parler, ou bien je les trouve autour d'un avocat trop paradeur sans réel engagement. Un d'eux, connu à la bibliothèque, me pousse hors du tribunal (bureau de l'association ) et me dit devant témoins: "la prochaine ils te tueront". Le fax au corps des avocats etc reste sans réponse.

 * Ma plainte à la police déposée sur suggestion du chef de l'ugtt n'est enquêtée qu'après un moi et ils ne mettent pas tout apparemment car ne me laissent pas lire le procès verbal.

 * Un journaliste que j'ai vu au sitting et qui sponsorise les activités culturelles de partis d'opposition m'insulte sur le net quand je lui on parle. etc

 

* Le dimanche suivant l'agression. Je suis allé comme d'habitude au café philosophique. Toutes mes connaissances y sont absenter pour la première fois. Madame Bchira me donne la parole pour définir la démocratie! Un syndicaliste, Mohamed Charfi ancien secrétaire général de l'enseignement supérieur, quand j'en profite pour parler de l'agression, me crie:" toi tu es venu pour nous faire la leçon?" personne ne dit rien. Quand nous sortons, une femme ( Faouzia Abid, donc même nom que moi , épouse du chef des éditeurs ) nous court après et nous dit je suis prête à faire parvenir un rapport à la LTDH ( droits de l'homme) si vous me l'apportez à la maison d'édition."

Rien ne suit et je contacte même directement Abdennadher et Lassad Jammoussi lors d'une conférence sur l'islamisme. Ils disent que la LTDH est en réunion ! 

Remarque: à la séance du café philosophique il y avait aussi deux grandes personnalités régionales: Mohamed Halwani ex candidat à la présidence et ex président du parti Tajdid et il n'a rien dit. Et Néjib Abdelmoula chef de l'association philo qui deviendra après président municipal. Il m'a dit : on a souffert la prison nous. Rien de plus!

 

* Mon professeur Mohamed Ben Hamouda devenu président d'un parti refuse de m'entendre. Il s'occupe plutôt d'une campagne pour fustiger une prétendue agression subie comme par hasard par le cinéaste Mouri Bouzid . Il me donne une carte de son parti et refuse de m'aider pour faire justice.

 

* Le parti FDTL dont le nom parle de libertés, contacté par courrier direct et par email ne répond même pas.

 

* Différentes organisations des droits de l'homme etc sont silencieuses à mes emails.

 

* Slaheddine Jourchi , membre de la Haute Instance et de la direction de la LTDH aussi reçoit ma lettre de main en main quand il vient conférencier sur l'islamisme. Rien. 

 

* Même chose pour les journaux numériques, les groupes soi-disant militants sur facebook etc. Même le groupe de la faculté où j'ai étudié.

 

* Des personnalités et associations juridiques contactées via internet ne répondent même pas aussi. Dont la ligue tunisienne de citoyenneté et Slim Laghmani mon ex prof de droit qui impliqué dans l'après ben ali dès le début.

 

* je suis retiré des listes email et téléphoniques des invitations pour les activités culturelles !

 

9/ Les objectifs et résultats de l'agression:

 

* REPRENDRE et voler mon téléphone Nokia 6600 ( acquisition bizarre ) qui contient: des images de violations et insultes envoyées à moi parfois dans un moment de deuil; des numéros de personnes chargées de me déranger sur le tel ; des appels enregistrés ( dont un où on met un bébé qui crie papa puis on raccroche). Dérober le téléphone permet aussi de clore son dossier et effacer l'histoire de l’utilisation de l'IMEI du téléphone pour le manipuler dans un jeu enfantin dans un temps de misère du peuple. Il y avait aussi une vidéo où on entend des manifestants chanter : nous sommes les enfants du commandant etc...

 

* Me coller un libellé de ex RCD pour justifier les violations et exclusions d'avant et après la révolution et masquer le rôle de l'ugtt et autres. Donc il y a une volonté de m'incriminer aux yeux des citoyens en plus de la saisie de preuves.

 

* Mon état de santé pouvait me causer la mort après quelques jours de l'agression. Et qui irait enquêter après un régime nouveau composé de partis, syndicats et patrons et soutenu par tout le monde?  

Au moins, j'aurais été après l'agression totalement dérangé mentalement avec les allusions au mariage et aux enfants, à ma folie qui justifie mon refus d'accès aux soins...

 

* Il est clair qu'un des buts est d'angoisser les gens et semer la méfiance entre le peuple et les activistes et les opprimés. Faire peur aux militants qui pourraient être non disciplinés aux organisations surtout anciennes et voudraient ouvrir des dossier de négligence dans un autre contexte que celui voulu: la mafia.

 

* Un jeu communautaire ancien de folie : Ces bandits avaient aussi une tendance à ce comporter en fous qui disent des choses incohérentes. Par exemple ils avaient pris un cd qui était avec moi. Je leur avait dit la vérité (qu'il renferme une copie de mes articles sur internet). Ils sont venus me cracher dessus et dire: "'il contient du rap et c'est écrit dessus !   donc avoues pourproi tu nous as menti?"

 
Autres objectifs :

* Instances inférieures politiques... doutent sur mon identité et les instances supérieures qui me connaissent s'abstiennent de dissiper ces doutes car les représailles-vérifications vont contre le sens de leur volonté. !!

* Me neutraliser ou au moins m’handicaper pour fermer la porte devant toute tentative de soulever des abus et négligences graves des institutions : refus de soins , soins erronés, refus d’assistance syndicale, intoxication….etc

* Une autre activité médicale sournoise a eu lieu pendant l'agression ayant rapport avec une capacité particulière que j'ai à récupérer de dommages corporels subis au travail etc. que même une personne à présent candidate à l'assemblée a essayé d'investiguer.

 

10/ Des activistes et autres habitués des syndicats ont assisté à la torture et peuvent être interrogés.
Dont:

 * Les deux stagiaires médecins

* Le spécialiste chirurgie maxillo-faciale qu'on a amené.

* Un gars vu au sitting et qui m'avait dit travailler dans l'écologie puis m'a emmené dans son bureau (aménagement du territoire, Haj-Tayeb, Avenue 18 janvier. Je l'ai interpellé pour me libérer lors d'une précédente agression, il a refusé.  Depuis vu à la Médina vendre des ustensiles.)

 * Un autre gars vu dans la tente de l'ugtt puis venu avant les grandes blessures me signaler que "tu dois tout dire, rien à faire". Il a une barbe clairsemée, grand de taille, jeans. Il participe parfois aux manif de gens qui paraissent affiliés au conseil national pour les libertés... Et il est ami d'une 'responsable de l'information dans les activités culturelles' très particulière.

* Un gars d'allure artistique entre quand on m'a fait les grandes blessures. Il me regarde en fixant mon visage et touchant les plaies, souriant, à la manière d'un peintre! Puis sort. Je le trouve au siège du parti Tajdid. Il me donne la carte et c'est tout. Je saurais après qu'il s'appelle Fathi Hammami. À présent élu en septembre à la direction de la LTDH.

* Un voisin qui prie dans la mosquée près de chez moi, m'a vu quand j'étais transféré de la tente des médecins dans une autre.

* Un ami d'un ami a dit avoir vu ce jour là à l'heure dite un gars emporté sous une tente. 

* Un clochard habitué des responsables de la LTDH et un autre syndicaliste peut-être proche du CNL ont assisté à une précédente tentative soi-disant échouée de séquestration.

 

11/  Que s'est-il passé sous la tente?

 

20 jeunes moins de 20 ans m'entourent  et 30 dehors enragent et demandent à entrer.

On me tient les bras. Des cours épars espacés pleuvent sur mon corps et mon visage pour m'inciter à réagir et justifier le massacre. Je ne bouge pas. On me force à m'asseoir sur une chaise et on me ligote les poignets derrière le dos avec une ficelle. Un nœud coulant est placé autour de mon cou. On me frappe avec des gourdins et des barres de fer. Un gars, que j'ai vu en 2008 plusieurs fois dans le marché de volailles où il vend des bêtes malades probablement volées, entre avec deux tuyaux de fer soudées comme une jumelle. Il me frappe avec il essaye de les enfoncer dans mes yeux mais je baisse la tête et l'arcade reçoit le coup. Pendant tout ce temps il y avait deux ou trois jeunes couchés sur des matelas. Le gars que j'ai vu dans une discussion rentre et ressort et me demande de dire avec quels policiers et qui me donnaient les tuyaux pour des petites affaires d'intelligence personnelle que j'ai faites. Les coups pleuvaient. On me déshabille et je reste en slip. Ils disent des obscénités. Ils prennent les portables et le portefeuille pour chercher les numéros de policiers .

 

Ces  gens à part celui de la discussion, et les médecins, je ne les jamais vus pendant les 8 jours passés à aller au sitting. Mais quand j'ai été transféré dans la tente des médecins, une femme qui diffusait des tracts d'un mouvement de jeunes devant l'ugtt est entrée puis un gars qui animait le sitting (slogans et info) et en septembre je l'ai deux fois revu dans la médina dans une zone de cordonniers; il avait une grande barbe et un faux plâtre à la  jambe gauche je crois. Ils ne m'ont pas parlé.

 

Le premier qui m'a adressé la parole sous la tente est lui même qui a commencé la première agression le 27 février (date importante. C'est une autre affaire). Il a environ 20 ans. Il dit qu'il m'a reconnu comme étant le policier qui l'avait torturé quand il a été arrêté pour un vol de voiture. Il répète avec insistance que j'avais fait pleuré sa mère (expression qui revient dans d'autres circonstances à propos d'injustices prétendues à la télé). Il amène des fillettes et leur dit: c'est le policier qui vous a violé à la prison. Un enfant noir et une femme âgée alors entrent et me frappent.

J'ai revu ce bandit en mai qui se promène dans la rue en une circonstance spéciale. Et un adulte qui lui ressemble beaucoup a essayé de me piquer le portable dans la queue devant le gouvernorat.

 Parfois un jeune entre et dit : sortez il ne doit rester que les responsables de la sécurité. Ils refusent alors il s'indigne et dit: je vais abandonner l'affaire et puis il sort.

Ils avaient demandé le numéro de la maison. Ils ont dit à la famille: votre fils est à la télé en train de jouer à un jeu. Puis: il est à la police.

 Ils n'ont demandé de leur dire que je vais passer la nuit dehors. Puis ils m'ont demandé le nom de l'ami auquel je faisais allusion. Je leur ai parlé d'un voisin jeune qui se promène parfois avec moi. Je l'ai vu après un mois avec des blessures nombreuses en cours de cicatrisation et il a prétendu avoir subi un accident.    

 

 12/ Quelques importantes attitudes après l'agression:

 * Mokhtar Khemakhem un employé au parti Tajdid me dit ce sont des intégristes et prétend même que tout les participants aux sitting le sont. Mais cela n'explique pas pourquoi on me refuse la justice. Il promet en DISCUSSION PUBLIQUE sur internet d'en charger des amis avocats puis rien.    Alors qu'un avocat affilié au Tajdid etcandidat à la constituante s'occupe de défendre une affaire douteuse d'effondrement du théâtre de plein air.

 * Zouhir Lajmi, syndicaliste qui prétend être affilié au Conseil National pour les Libertés (interdit sous Ben Ali): je lui parle à propos d'un barbu qui est entré à la tente vers la fin du calvaire et a participé au coups et dont une vidéo apparaît sur internet ( en train d'enseigner le sens de la constituante à un groupe de jeunes banlieusards) . Il dit qu'il appartient à Hizb Tahrir , parti intégriste extrémiste.

 * Des membres de la famille toujours bien insérée dans les deux époques expriment leur indifférence, dont un cousin agent de police un peu bizarre qui a réintégré la police après la chute du régime.

 

13/ Incidents précédent l'agression:

 

*Deux ou trois jours avant l'agression j'avais répondu à une femme qui me questionnait , devant le clochard sus-mentionné , de  "parti PDP et  parti Tajdid qui ne sont pas vraiment indépendants du régime et pas sérieux pour servir, et qui font des réunions partisanes dans des salles publiques et des conférences politiques dans leurs locaux, alors que -est l'inverse qui doit arriver". Par hasard ce même clochard se présente au moment de là première agression.

 * Peu de jours avant l'agression une réunion de Ahmed Brahim (mouvement Tajdid) a été empêchée par des manifestants qui ont même ramassé les chaises ce qui renseigne sur la partie qui a fait cela habituée depuis toujours aux shows de savoir faire et d'excellence.(raison déclarée: participation au gouvernement). Des soi-disant activistes de toujours (sans réel activisme) me questionnent: "Toi tu acceptent cette pratique d'exclusion par la foule et la violence?" Je réponds: ce gouvernement auquel ils participent est voleur et corrompu et non élu. Cela peut justifier la colère du peuple".  (Comiquement: des caméras et une personne bizarre à forte rhinite malodorante ont été opposé à ces vandales crieurs).

 

14/ Comment je suis revenu chez moi.

Après l'arrêt de la torture ( 3 possibles raisons  déjà expliquées), on m'avait donné d'autres vêtements et enveloppé du drapeau tunisien soi-disant je vais devenir un des leurs.

On m'emmène à la tente des médecins. Après les soins des barbus arrivent et on me demande d'aller passer la nuit chez eux car la place est étroite. Je me couche. Ils posent des questions du genre :" tu es prisonnier? Demain tu vas subir un autre interrogatoire. Tu veux veiller avec nous?" Ils ont  un ordinateur qui diffuse en boucle une vidéo sur la Libye et Kaddafi qu'elle fustige.

Cela dure jusqu'au matin. Des gens me voient et s'indigne pour la question de la torture. Je dit que je vais aux toilettes et je gagne la rue et vais à l'ugtt comme déjà expliqué.

 

15/ Comment enquêter:

 

 Remarque:
L'ugtt me connait, j'ai en 1998 publié des articles dans leur journal ( qui précisément parlent de dérive impériale favorisée entre autres par les négligences des mouvements sociaux) et je suis adhérent de 1996 à 2007. Mais elle doit savoir aussi que je ne vais pas oublier les séquelles sanitaires de sa négligence de lutter pour un sain milieu de travail. Une lutte possible.

Alors, ni pendant ni après ils ont voulu me défendre et aider à recouvrir
mes effets personnels et attraper les fauteurs!! Ils font comme s'ils ne me connaissaient pas. Bizarre eux qui auparavant connaissaient toutes mes critiques de l'abandon du rôle social pour des jeux et des célébrations ...

 On peut :
* Questionner un membre de ltdh actuellement qui m’a vu sous la tente

* Le jour de l’agression il y a un homme, que j’ai vu depuis 1990 dans des activités culturelles, qui parlait avec les gars dans le petit cercle de discussion d’une manière bizarre. Alors il connaît Hichem et le jeune qui a participé à la torture ! NB : Cet homme a été candidat à l’assemblée constituante . Il s’appelle Chokri Kachouri et il voulait me faire adhérer au parti Fdtl qui le soutient.

* Il suffit de contacter Mohamed Chaabane pour lui demander de questionner les syndicalistes. Il se dérobera peut-être.

 * Questionner le technicien de mon portable.

* Chercher avec la compagnie de télécommunication les numéros de portables qui ont appelé la maison

* Questionner les habitués du quartier Saltnia près de chez moi dans lequel j'ai revu une fois un des enfants en cas âge qui ont participé.

* Questionner Badis le voisin qui peut éclaircir son agression et l'affaire des enfants.

* Consulter la vidéo trouvée sur internet.

* Mon coiffeur paraît avoir entendu parler de l'affaire.

* Un ami ( Chebbi) me dit: ils t'ont pris pour Jalel l'indic qui travaille à la bibliothèque.

* Les taxistes.

* Je me rappelle que le bandit qui m'avait accusé de l'avoir torturé, je l'avais vu précédemment dans un café où il simulait être muet pour vendre des porte-clés. Une fille bizarre du milieu artistique m'y avait emmené. Elle circule encore en 2011, avec des jeunes dans les lieux les plus bizarres en hiver comme la plage !  A présent elle nie m’avoir connu !

* Ce même bandit me questionnait à propos de «  Belhassan » . Peut être mon ex-collègue. Il me dit qu'ils vont le bousiller aussi. Peut-être serait utile de le questionner.

Remarque: j'avais insisté hystériquement que je ne connaissais aucun Belhassan et peut-être ainsi ils ont pensé que la torture m'énerve et qu'il fallait utiliser plutôt la douceur.

*De temps en temps je rencontre ces tortionnaires devant le siège des organisations où je

vais pour exposer mon cas !!

* J'avais écris le lien de mon site sur le communiqué du front de 14 janvier. ...

* L'ami de Tajdid sus-mentionné m'a dit quand je l'est questionne en privé sur sa promesse sur le net de charger des avocats: " que vas-tu répondre au juge s'il te demande: pourquoi ils t'ont agressé toi uniquement". Le ton de cette question pourrait contenir là preuve du caractère punitif.   

* questionner les avocats qui simulent la torpeur puis refusent mon dossier après avoir connu mon identité.

 

* Un responsable du parti PDP  a investigué superficiellement l’affaire et m’a juste répondu avec tristesse et reproche , quand il s’est assuré de la véracité de mon récit : « pourquoi tu y est allé ? ce sont des voyous et cruels »

 * Un avocat qui fut candidat à l’assemblée et un journaliste vus tout prés du sitting semblent connaître l’affaire.

 * Contacter tout ceux qui n’ont pas voulu m’aider dont l'association des avocats et surtout Maître Bacem Ketata qui avant était indifférent et à présent paraît hostile ( ex responsable de la LTDH et à présent au conseil de protection révolution dans ma région ).

 

 16/ Important de préciser :

*Le très fort conseil de protection de la révolution et le sitting qui en est issu (forts dans la lutte contre les actions environnementales et celles des oubliés, et dans la gestion macro d'une prétendue sécurité, alors que l'insécurité microsociale et réelle est méprisée) sont formés dans le syndicat et ont comme porte-paroles et coordinateurs des dirigeants syndicaux qui me connaissent . ceux là ont refusé de me recevoir et ne l'ont fait (dans le couloir de l'ugtt) que quand ils ont vu qu'un témoin ( parent ) m'accompagnait.

* L’employé de l’ugtt Ali Mrabet vient me trouver un jour prés du kiosque de journaux où je vais presque tous les jours et me lance : « C’est parce que tu as insulté l’ittihad ! »

* Les médecins stagiaires qui m’ont insulté pendant l’incident et puis cousu les blessures sont les mêmes que j’avais vu un moi auparavant manifestant devant l’ugtt et auxquels j’ai dit alors que ce syndicat s’en fout des droits de l’homme et des ouvriers.

* Un avocat a juste refusé de recevoir mon dossier après avoir lu mon identité dessus !

Il se retrouve sur ma route fréquemment juste au moment où je descend du bus , quelle que soit l’heure.

* Un aspect de la manipulation théâtrale : je suis torturé dans la même «  tente d’animation culturelle » où j’avais décliné d’aller pour « déposer mes productions culturelles ».

 Je souhaite : Assistance juridique pour me faire justice.

 Il ne faut pas avoir peur. Car pour moi au contraire ce serait une occasion pour les gens honnêtes pour couper avec les commerces et organisations non loyales aux droits de l'hommeet se pencher vers une vie solidaire y compris en matière de divertissement et voyage etc.

L'entraide et la vie de groupe sont la garantie de la sécurité.

 

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NB: Mars-Avril

 Nb:  Encore une fois on me coupe internet pendant la grève de télécom! c'est la 3eme

fois. Et cela dure plusieurs semaines chaque fois, soi-disant les câble coupés par des

voleurs de cuivre ou même sans raison!

 Que voulais-je faire au moment de la coupure ? Ayant trouvé peu de sérieux lors de demandes

de gestion à l'amiable d'une agression que j'ai subit, il était attendu que j'allais

entreprendre des plaintes chez les parties concernées. Alors le net me fut soudain coupé !

Et personne ne se souci de cette atteinte à la démocratie!

 

 Sami Abid
Sfax

Mail   sami.abid27@gmail.com

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 ANNEXE :

 

                                           CERTIFICAT MEDICAL

      Je, soussigné Docteur  Rekik Samir, certifie avoir examiné ce jour, le  4/3/2011 M. Sami Abid qui déclare être victime d’une agression survenant le 2/3/2011 à 17 heures.

 Examen :

 * Conscient/coopérant.

 * BEH

 * Plaie profonde  au niveau de l’arcade supérieur de l’œil gauche (02 / deux points de suture).

 * Plaie profonde au niveau de la lèvre inférieure (02 / deux points de suture).

 * Tuméfaction ecchymotique péri-orbitaire droite.

 * Multiples écorchures et lésion ecchymotique au niveau du thorax et du dos.

 * Tuméfaction au niveau de l’articulation pariéto-mandibulaire gauche.

 * Tuméfaction ecchymotique au niveau de l’épaule droite.

 * Tuméfactions ecchymotiques au niveau des 2 lèvres.

 * Reste normal.

 Son état de santé nécessite des soins et un repos de 30 / trente jours, sauf complications ultérieures.


========= FIN









                                 



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