Aperçu des droits de l'homme et des institutions
17/10/2011
Les témoignages de l'homme de la rue dans les médias confirment certains soucis graves du temps présent.
1/ Le 19 octobre la station du bus très ancienne située près de la porte de la ville de Sfax (Bab Diwan) est transférée plus loin pour laisser la place pour le stationnement des voitures privées.
Ainsi un service individualiste est prioritaire sur un service public qui aidait énormément les personnes âgées etc.
2/ Le 17 octobre l'organisation de défense des droits de l'homme LTDH annonce que son siège à subi une intrusion et qu'un ordinateur contenant ses archives et l'organisation et la formation du contrôle des élections de l'assemblée a été volé.
ÀCette affaire nécessité d'être enquêtée sur le modèle des commissions mixtes d'enquête et chercher un lien possible avec les bandes d'enfants voleurs car seuls des enfants peuvent reconnaître et accéder facilement ce genre de lieux.
3/ Le problème de l'aération des hôpitaux publics se pose d'une manière grave et s'ajoute aux autres aspects du manque d'hygiène.
4/ Le vandalisme commun dans les lieux publics qui cible spécialement les toilettes continue sans contrôle (exemple: les toilettes du port de l'île longtemps délabrées subissent des saccages,surtout la porte et la chasse d'eau. Une inscription en rouge (coeur p** 1952).
5/ Des éléments douteux bloquent le port d'arrivée à l'île sans souci pour les citoyens et les cas urgents.(16 octobre)
6/ Des enfants de 13 ans au visage cireux et des hommes âgés ont accès sur le bateau pour vendre des amandes mouillées qu'ils manipulent mains nus au risque de transmettre des maladies.
Le souci de formation ne va pas vers les responsables des lieux publics. Il se limite aux contrôleurs des élections.
(début de ce commerce: 2010 dans les rues de la médina)
7/ Les bus ne partent que si les passagers trop lassés d'attendre vont voir la chef de station. Économie de carburant? La solution de fixation d'horaires est non envisageable...
8/ Les intellectuels qui sont l'espoir des peuples continuent à méditer avant de lancer qu'ils approuvent et glorifient un printemps qu'on à jamais vu.
9/ De même que sous le régime passé, le discours du genre "les jeunes sont la solution, pas le problème" continue à être relayé cette fois dans le Rap ce qui risque de nuire à l'harmonie des couches sociales.
10/ Une vie associative non mûre. Il est difficile pour un cas social, un militant ou un ancien syndicaliste d'assister ou contacter les instances de décision supérieures des organisations, surtout les congrès.
11/ En période électorale paradoxalement on veut pas parler de la violence.
Déjà l'organisation centralisée des préparatifs est contraire à l'esprit du siècle.
12/ Les cas de misère des régions de l'arrière pays montrées à la télévision semblent avoir été un simple jeu.
Parfois même en direct les associations donnent des numéros de téléphone au lieu d'adresses voire des solutions!
13/ Des éléments du système sont chargés chargés de l'info et de l'évaluation du système. Mon cas montre que les indépendants sont exclus.
14/ Le mystère plane sur l'activité et les sièges des commissions anti corruption et des organisations humanitaires.
15/ Une situation très dégradée dans certains hôpitaux(absence de ventilation, de toilettes salubres...)
16/ La violence dans les stades est peut être compréhensible comme moyen d'intimidation-recrutement pour les banlieusards.
17/ Rien ne permet de définir la nature des organismes apparus dans le pays: vrais partis ou sièges de torture de l'OTAN ou police secrète du système. Aucune action permanente en vue.
18/ Les partis n'agissent pas. Cela nous suggère l'existence d'un sorte de partage du peuple.
19/ On joue sur la psychologie et l'enthousiasme des intellectuels et cadres moyens soucieux de participer à la gloire annoncée mais déchirés entre leur nature fidèle à leur ville et concitoyens et soucis sécuritaires (lynchage) suscités par les infos. Ainsi les associations évitent de traiter avec des inconnus etc.
20/ Des milliers de diplomés ont été recensés. On ne sait où ils les ont affectés.
21/ Les membres de la haute instance de réforme ne posent des questions que sur le FINANCEMENT DE LEURS PARTIS. Pas de questions sur le suivi de l'application des lois.
22/ L'utilisation d'enfants bandits dont les parents sont des obligés en matière de travail pour faire passer une attaque comme conflit mineur entre habitants d'un quartier.
23/ La liste
"alternative révolutionnaire" parle comme le système radical passé de "aider chaque investisseur national qui veut créer une usine". On à vu que cela consistait à permettre des violations du code du travail en matière de sécurité sociale, d'hygiène et de santé, le gel des salaires même en période d'épanouissement économique etc.
Vraiment la guerre a absou tous de faire leur devoir (ce constat objectif est même annoncé et théorisé par un grand chef syndical qui a rejoint un mouvement politique: "les conflits idéologiques peuvent être résolus selon la nature de la lutte même internationale et régionale...").