Droits et institutions: bilan de 2012
Première partie
( écrit janvier-février 2013 )
Nous reprenons ces aperçus pleins de la crainte , plus grande de nos jours ,( où la gestion du
risque passe par l'abandon de la victime ) , de voir le fauteur utiliser ces remarques et
précarités ou même retourner sur le lieu de la faute avant l'avocat ( ou défenseur dh ) tant espéré
!!
Ces remarques risquent d'être encore longtemps des notes sur le papier. La preuve en est le sort
donné à nos précédents compte rendus, dont nous omettons ici de reproduire les contenus. L'ambiance
de crainte et d'intimidation intellectuelle règne encore au moins dans les esprits; ce qui fait que
les gens au lieu d'entamer des constatations personnelles, parfois questionnent avec scepticisme
l'auteur, et à défaut , les parties impliquées ! Mais le plus souvent les gens n'attachent aucune
importance à ce qui leur paraît étranger aux prouesses médiati-politiques en cours, fignolées avec
une finesse suggestive réconfortante.
La gestion des dégâts écologiques et sanitaires sont le plus immédiat critère pour vérifier
l'honnêteté de la volonté de servir le pays, contrairement aux programmes politiques qui nécessitent
du temps et la prise du pouvoir. Et c'est pour cela que c'est le secteur le plus policierisé:
désarchiver, décourager et mafieuser est le slogan du moment.
Des personnalités qui sont chargées de défendre les droits de l'homme nient en fait l'universalité
de ces droits ( par exemple en insistant sur leur droit à continuer à toucher les mêmes salaires et
retraites qu'autrefois et exigent même des augmentations, alors qu'ils nient DE FAIT le droit des
chômeurs à se procurer un emploi selon l'ancienneté de la demande et on celle de l'affiliation aux
dirigeants) et nient aussi le respect de la personne humaine ( par exemple en acceptant la pratique
de la torture comme punition pour quelque chose qui n'est pas un crime: la critique de l'abus de
pouvoir et du zèle politiques). Ceci constitue le principal trait du retour au moyen âge, avec la
prolifération des épidémies et de l'indigence.
Entre temps, plusieurs locaux ( maisons d'indigents, commerces de propriétaires inconscients, etc )
continuent d'être un danger sanitaire pour leurs occupants et un foyer de contagion pour la
communauté.
L'accalmie hivernale se termine et la chaleur revient et avec elle les risques hygiéniques de l'été
passé qui n'ont pas été encore expliqués ni pour la population ni pour le système en place :
infestation et maladie respiratoire de moisissure, émanations de gaz d'égouts, pollution aérienne
par le traffic routier, bâtiments publics mal gérés infestés et transmettant des maux respiratoires,
exemple les mosquées...etc.
D'autre part les tas d'ordures réapparaissent parfois au milieu des rues et l'air est encore plus
intoxiqué par les odeurs et les microbes de la putréfaction.
Le refus de considérer les obstacles masqués à l'expression: est-ce de la naïveté ou du laisser-
pour-compte ?
On devrait demander aux opposants politiques et autres activistes de bien définir leur conception de
l'opposition et du volontariat qui souvent paraissent ne pas inclure la réparation les nuisances du
gouvernement et des problèmes sociaux et humanitaires. Ceci peut aider d'innombrables citoyens à
définir leurs attitudes et faciliter le travail des académiciens pour élucider leur écriture de
l'histoire.
Le cloisonnement de fait de la société et des organisations ( impossibilité de discussions de fond
entre citoyens et membres de base ou responsables de structures moyennes, centralisation
excessive...) n'est ce pas une forme d'abandon surtout que c'est contraire au libéralisme officiel?
Ne faut-il pas se demander si ce comportement n'a un lien organique et fonctionnel avec le
comportement discriminatoire et hostile de certaines personnalités et organisations dans le passé,
avant 2011?
Dans ce contexte, les adeptes de l'activité associative et de la modernité font tout leur possible
pour... prouver les limites policières ou diaboliques de leur engagement ! et montrer leur
préférence pour les grands chantiers politico-civilisationnels et le dossier des ' libertés ' qui
n'englobe pas la protection contre les menaces explicites !
Le sort donné aux libertés ajoute d'autres inquiétudes: les militants, responsables et organisations
dits libres ne sont même pas libres de remercier un citoyen qui les a mis en garde contre
l'épidémie.
I. Environnement et urbanisme
1* La construction des nouveaux complexes résidentiels, commerciaux et industriels se fait encore
sous la forme de bâtiments mitoyens qui ne facilitent pas l'aération. Ceux qui ne dépassent pas les
2 étages, surtout loués par des artisans...sont parfois presque sans fenêtres. Le souci est évident:
faire plus de profit par la même superficie. Alors que les responsables choisissent pour eux même
d'habiter au bord de la mer ou dans la verdura, loin de tout voisinage.
Une grande partie des nouvelles constructions érigées sur des chantiers continus non justifiés par
une réelle nécessité, sont de très hauts immeubles collés les uns aux autres aux bords des rues sans
espace suffisant pour les courants d'air, ce qui transforme les rues (surtout l'été ) en de vastes
ruisseaux d'air malsain avec de fortes concentrations de gaz issus du traffic routier très lent et
très intense et de la plus rapide putréfaction des résidus des égouts ( nb: système impropre à
l'état actuel de la ville, égouts souvent bouchés à cause de la mégestion ... ) .
2. En ville beaucoup d'immeubles anciens et de maisons et autres monuments de la Médina depuis
quelques années ne sont plus entretenus et risquent le délabrement. Ils sont sujets parfois à des
incendies et risquent même de devenir des dépotoirs d'ordures. Pourtant leur maintenance n'est pas
très coûteuse: peindre les toits de chaux et les donner comme sièges pour une période limitée à des
associations ou des jeunes promoteurs en contrepartie de leur restauration.
3* En même temps on construit inutilement des bâtiments et immeubles nouveaux ( pas aussi conformes
aux normes du point de vue aération et architecture que les anciens ), et qui suggèrent une
tendance à supprimer le moindre espace blanc ou vert en ville. Ceci au lieu d'utiliser les beaux
vides bâtiments anciens alors que cela revient à:
- Éloigner les activités ( exemple les foires ) des centres urbains accessibles à tous.
- Laisser de nombreux bâtiments désaffectés se délabrer et devenir un risque d'hygiène et de
sécurité parfois près d'institutions très importantes.
Dans les conditions actuelles ( augmentation des températures, infestation de germes tenaces ), ces
immeubles deviennent des pièges à moisissures l'été que les habitants respireront à longueur de
journée.
4* En observant l'évolution en cours de la ville on se demande: est-ce l'urbanisme ou la guerre
contre l'équilibre écologique ?
Éliminer sans raison les vestiges de nature et encourager à le faire!
Mobiliser des familles pour exercer la persécution et la menace environnementales sur leur voisin!
Avoir des chaussures non souillées par le sable depuis la chambre à coucher jusqu'au bureau. Ouvrir
les voies pour le transport lourd des marchandises sans souci pour le bien-être des habitants des
quartiers résidentiels qui n'ont aucun droit à l'intégration économique!
Tels sont les principes directeurs de l'urbanisme dans notre région au moins.
À part les considérations d'ordre écologique, esthétique, psychologique et sécuritaire, la
transformation de la ville en un géant bloc de béton influence la santé et le bien-être des citoyens
puisque le béton absorbe la chaleur et participe ainsi à l'augmentation de la température. Ainsi,
dans les quartiers du centre-ville et des banlieues la population prend les vêtements et literie de
l'été dés début Mai.
5* Les leçons de l'urbanisme dans l'histoire ( pendant l'antiquité, le moyen-âge et l'époque
moderne: la ville-rempart est un bon foyer pour l'épidémie ) et les leçons des années 90 ( chasse
aux démons = oubli du quotidien social) n'ont jamais été pris en considération et même méprisées.
Les pratiques continuent et leurs tenants reconduits dans la confiance parfois auréolés des gloires
de victoires verbales jamais questionnés.
6* La gestion des ordures ménagères, commerciales et artisanales continue de poser de grands
problèmes surtout avec l'accroissement de la population et de la ville et l'utilisation parfois
arbitraire de divers types d'emballages dans l'industrie alimentaire en particulier.
Les plus importants soucis sont l'amoncellement des tas d'ordures dans les rues et l'inefficacité
des services de collecte.
Les solutions sont pourtant simples et déjà utilisées dans plusieurs pays:
- Tri à la source des ordures. Les ménages doivent déposer leurs ordures dans 3 types de poubelles
- Équiper le personnel des moyens de protection adéquats: gants, masques, outils de collecte
adéquats...
7* Depuis les années 80 approximativement on remarque une tendance industrielle néfaste qui consiste
en la fabrication d'articles de consommation à courte longévité ou de mauvaise qualité ( exemple:
chaussures et accessoires électriques). Cette tendance pose plusieurs problèmes dont:
- l'augmentation des déchets et de la pollution par l'intensification du jet et de la fabrication
- risque pour les matières premières non facilement renouvelables.
- une forte inquiétude dûe au silence des organisations et associations citoyennes.
8* Toute la ville, depuis les bâtiments construits juste après l'occupation, à ceux d'après
l'indépendance, jusqu'aux couvercles des égouts et des trappes de relais téléphoniques est proie à
la rouile et au salpêtre par manque de maintenance. Le plus important raisonnement sur ce désastre
urbanistique est: " le régime despotique avait un comportement ségrégationniste qui refuse les fonds
nécessaires à la ville". Mais cela n'explique pas l'abandon au délabrement des bâtiments anciens (
où siègent les partis de la transition ) et la démolition injustifiée de bâtiments qui pouvaient
être restaurés. En plus c'est un problème observé dans plusieurs villes. On voit là un autre exemple
de la tendance à éviter à tout prix le questionnement sur la compétence ( négligences ... ) au point
de préférer y substituer des explications politiques ( dictature et anti-patriotisme ) et
criminelles ( mafia ...)
9* Les plans urbanistiques non réfléchis en ouvrant des rues sans nécessité ont fait des bords des
propriétés résidentielles espacées des dépotoirs clandestins de gravats et de déchets industriels
qui deviennent au bout de quelques années des refuges pour les rats et un lieu de rencontre
d'individus suspects.
À part l'impact habituel de ces manquements urbanistiques, on constate une accentuation des
problèmes dûe aux réchauffement climatique, à l'augmentation de la misère et à l'apparition de
maladies épidémiques.
ll. Santé
1* Si les salles d'attente de l'hôpital deviennent un foyer de contamination, qui est susceptible de
gérer les conséquences et les responsabilités ?
2* Des affections dermiques qui paraissent très anciennes du genre gale sont observées chez des
malades psychiatriques et des personnes âgées; elles prolifèrent dans une ignorance complète de la
pathologie, de l'origine hygiénique et contagieuse et de la possibilité de traitement parfois assez
simple.
3* Intensification de comportements sanitaires et hygiéniques bizarres et nuisibles parfois
clairement dictés à des gens simples d'esprit et facilement suggestifs, par des individus ayant un
pouvoir communautaire ou corporatif extravagant. Exemples: suggérer qu'il est bon de fermer portes
et fenêtres au mépris de l'aération des domiciles; port de gants uniquement en été et surtout par
des femmes qui ne sont pas toujours voilées; maintien sous menace d'insulte, des vitres des voitures
et bus fermés en plein été...
4* Un grand nombre d'organisations en 2011 ne comprenaient pas qu'une situation qui cause des soucis
de santé pour une partie de la population ( par exemple dans une industrie ) doit être rapidement
corrigée et gérée et qu'une personne plus fragile que les autres doit être aidée à s'intégrer
socialement et professionnellement sans attendre si les autorités hésitent ( voire ont d'autres
projets, souvent culturels, parfois vindicatifs à faire! ) ; ceci parce qu'il en revient de la santé
publique. Ces gens sont aux commandes dans le pouvoir à présent dans les appareils de l'état et les
oppositions.
Et dans un monde où on ne maîtrise pas encore les foyers de contamination de nombreuses maladies,
est-il raisonnable qu'ils parlent de " manque de postes d'emploi " ? Et que dire encore des
responsables insouciants du maintien des bâtiments en ville et de l'entretien de nombreuses
ressources ?
5* Les aspects négatifs cultuels et politiques qu'on observe ont un impact par eux-mêmes et aussi en
aggravant la situation sociale en cours, dont de graves implications sur la gestion des crises
sanitaires présentes:
- Il est impossible d'utiliser les tribunes des réunions publiques politiques ( faites de discours
des responsables ) pour informer les gens et élites.
- Les associations et personnalités et responsables politiques sont indifférentes à soutenir ce
genre de campagne d'information et certains la méprisent même publiquement.
- Il était impossible de s'allier à ses propres enseignants ou autres gens cultivées pour profiter
du prestige des élites afin faciliter le contact avec les gens et les conseiller, ni pour observer
la nature et l'évolution des germes et des maladies, ni pour tirer les leçons et les transmettre en
temps utile pour les appliquer aux régions et couches de population non encore touchées par
l'expansion graduelle des maladies.
Il ne fut pas possible non plus de définir les régions possiblement saines à cause de leur position
et les montrer comme modèle de prévention. Au contraire.
6* La situation sanitaire
et la rigueur dans sa gestion elimine toute identité avec les responsables négligents. Ceci explique
la direction cérémoniale et d'apparat des conférences qui suscite chez les citoyens l'ennui et
l'indifférence politiques qui servent miraculeusement bien le but de non éclaircissement des
compétences, des formes de recrutement, du dévouement et des responsabilités.
7* Des incidents suggèrent une possible manipulation de la situation épidémique pour nuire: un
inconnu se disant ancien collègue de lycée s'approche et souffle au visage, étant visiblement très
malade de la grippe. Les seules propositions d'embauche de ces années coïncident avec l'expansion de
la maladie dans le lieu d'embauche... Personne ne veut vérifier pourquoi ce poste incompatible avec
le niveau d'instruction.
8* Si les hôpitaux ( les attentes des consultations externes ...) deviennent un lieu et/ou un moyen
de contamination qui est capable de gérer les conséquences et les responsabilités ?
9* Des affections dermiques genre gale sont observées chez des malades psychiatriques...
10* L'Ignorance sanitaire chez les citoyens et l'analphabétisme sanitaire chez les services
municipaux, dont de gestion et collecte des ordures, sont la cause profonde de prolifération des
ordures pourries dans les rues. Il en résulte la concentration des germes nuisibles dans l'air et
l'environnement ( y compris l'agriculture et les stocks alimentaires ) d'où des problèmes sanitaires
et économiques graves.
Il est temps de réviser l'idée selon laquelle " il n'à pas voulu faire attention à l'école alors il
doit se contenter du travail et du salaire maigre de codecteur d'ordures " .
11* Au delà d'un certain nombre de véhicules en circulation dans les rues, le traffic routier peut
générer des gaz en quantité qui modifie dangereusement la composition de l'air et le rend
irrespirable comme il à été observé en été 2012 à Sfax durant les heures de l'après midi.
Il est temps de remettre l'être humain et son bien être au centre du progrès technologique et
urbanistique.
lll. Action citoyenne et institutions en rapport avec la défense des droits essentiels:
L'année 2012 semble être l'année d'une nouvelle création en république: la priorité de l'expression
artistique des élites historiques sur l'expression autour des risques immédiats par les institutions
de masse.
1* Les citoyens et intellectuels supposés libres, ne sont pas libres de remercier et soutenir une
personne qui les met en garde contre l'épidémie.
2* On devrait parler de phénomènes et non de structures spécifiques
de violence. Exemple: le masque de ' évincer les agents de l'ancien pouvoir ' est utilisés à
l'occasion par différentes parties.
3* Le zèle, le jugement sous forme de ' tribunal populaire ' et/ou la sentence clandestine cachent
une remise en question de l'égalité des gens devant la loi. Le fond de la question est toujours une
critique de la négligence.
4* Il est nécessaire de créer des centres de soutien et d'écoute des victimes la déprédation et des
exhibitions politico-miliciennes lors des manifestations et autres actions et shows politiques.
5* Souvent on parle en suggérant l'évidence de ses propos, sans documenter les cas de violence et
écouter les victimes.
6* Les déclarations enthousiamées contre la violence semblent être un moyen pour masquer des
violences passées ou présentes.
7* Une part de responsabilité dans la régression de l'attachement aux droits de l'homme et de la
conscience humanitaire réside dans la déformation des événements contemporains, y compris le silence
sur les plus graves atteintes aux droits de l'homme et la nature de leurs acteurs.
Ainsi les leçons des crises historiques ne sont pas tirées - sans compter le fait que le cercle des
personnes capables d'enrichir la pensée et la conscience collectives se rétrécit.
8. Les postes de responsabilité dans la défense des droits de l'homme deviennent eux aussi un moyen
de récompenser des membres de l'élite pour entre autres leur laxisme dans le respect permanent des
droits de l'homme. Exemple: un intellectuel primé sous l'ancien régime Tunisien diffuse lui même une
histoire d'emprisonnement etc et devient premier cadre municipal puis chef local d'un institut des
droits de l'homme jamais vu (comme lui) sur le terrain des détresses populaires passées ou en cours.
9. Les activités ( et la gestion des événements et problèmes ) paraissent suivre un cours tracé à
priori commencé avec des éléments choisis et depuis très longtemps parfois, sans lien avec les
évolutions présentes ni avec les nécessités de l'accomplissement du devoir envers les citoyens.
10. La différence induit la guerre pas le dialogue.
Exemple: l'agression-torture subie suite à une critique pourtant ancienne.
11.L'attitude envers les chômeurs et l'informatique déterminent le degré d'indépendance et de
sérieux des partis et associations. La médiatisation officielle d'infos erronées sur des processus
extrêmement actifs pour la gestion de ces deux questions est voulue. Celle des autres parties révèle
la relation à sens unique qui ne profite pas au peuple et aux intéressés.
12* Les instances internationales honnêtes s'associent, par leur silence et leur cyniquement
AFFICHÉE et TOTALE confiance aux instances locales MÊME CRITIQUÉES, au crime de participation aux
violations des droits de l'homme ( droits économiques et culturels ) , de félonie ( torture d'un
affilié ) et de refus d'assistance à personne en danger ( refus d'assistance contre la mégestion de
l'épidémie et la menace de nouvelles agressions ).
Dans ces conditions les associations ayant été des outils pour la tyrannie et le maintien de la
misère gèrent un activisme de façade et les changements servent les mêmes clans et des despotes.
Les organisations internationales ( ong de toutes tendances et onusiennes ) préfèrent soutenir ou
ménager une personnalité qui aurait, elle ou un parent, prononcé un discours à un congrès en 70 ou
parfois un individu qui après 2000 à l'habitude des pétitions et des célèbres histoires de jugements
d'opinion, que de secourir des individus et populations qui risquent la mort par embargo sournois ou
par manque de compétence de leurs gouvernants. ( Pourtant la mode depuis des années a souligné la
nécessité de l'entente et de l'implication des concernés )
13* Des personnalités favorables à la torture comme punition et au zèle sont à la tête de nouvelles
formations politiques soutenues par les anciennes. Exemple en Tunisie, Abderrazek Hammami qui
prétend oeuvrer à son intégration au système en soutenant un cas de séquestration-torture de 2011.
D'autres renoncements au respect de la personne humaine sont déductibles dans l'inconscient (
lésinement sur les fonds pour la promotion des dh... )
et le conscient ( embargo et violence contre les virtuels critiques ).
Tout ceci et d'autres formes de mégestion de la défense des droits de l'homme ( en y ajoutant les
actes de piraterie subits par l'idée de " défense des défenseurs des droits de l'homme ", dont la
demande de dédommagements à des opposants problémateux ) tout ceci prouve qu'on se permet - de temps
en temps ?! - de concevoir la défense des dh comme un outil de plaisirs puérils et non pas toujours
comme fin en soi. Comme si se déplacer dans sa ville ou sa région pour secourir des personnes qui
ont des problèmes d'inaccès aux droits élémentaires de l'homme, documenter leur détresse, ou inciter
les plaignants à se secourir les uns les autres, n'est pas aussi un plaisir de voyage et de
distraction par la découverte.
Jouer avec la défense des droits de l'homme et son histoire est dû au peu de cas fait de la question
( utilisée comme passe-temps ou juste comme preuve de modernisme ) et montre que le luxueux confort
de petits groupes, s'ils sont sympathiques, et de clans est assimilé au bien-être de gens qui
vivent sans couverture médicale en temps d'épidémie pas plus loin que dans l'immeuble voisin, et
dont le sort menace l'honneur et le bien-être nationaux, uniquement parce qu'ils n'ont pas voix au
chapitre, ni voie, parce que être toujours à préparer sa propre gloire, c'est être là où nul ne les
voit.
¤¤¤¤¤¤¤
Ci-joint un article disparu du blog , publié autour de fin 2011 sur les circonstances de la guerre
et de la violence et qui constitue un bilan avant le début !!
La guerre: les dessous du danger et du désordre
11/09/2011
Des crimes sournois surviennent parfois même dans les guerres les plus libératrices et humanitaires:
- Des escrocs accaparent les possessions d'autres gens (du même camp ou neutres) soi-disant qu'ils
sont des partisans de l'adversaire.
- Des gens vraiment honnêtes pensent qu'il faut à chaque citoyen de punir les erreurs passées sans
se référer à la volonté nationale. Et au nombre de ces erreurs ils incluent par exemple le fait
qu'un commerçant était obligé sous la menace (de punition collective) de laisser sa boutique ouverte
aux gens et à l'envahisseur éventuel.
- Un fort du système vainqueur peut profiter de la situation pour brûler des dossiers de fautes
passées parfois involontaires ou changer la carte des affidation et l'échelle des forces pour les
mêmes ou autres buts.
- Exagérer les dangers sécuritaires et/ou minimiser ses propres forces pour taire le débat social
et/ou se dérober de questions juridiques ou grands défis tes que l'environmmément etc.
L'exemple de la guerre en Libye est en plus porteur de différentes aberrations : une guerre contre
un membre de l'onu , une guerre avec violations des résolutions du conseil de sécurité , avec des
indifférences humanitaires contre les civils , une guerre qui installe des fanatiques et ethno-
racistes au pouvoir !!!